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L'essence de la com'

Le contrat signé avec votre prestataire, vous l’avez lu ?

  • Photo du rédacteur: Laura, cheffe de tribu engagée et passionnée
    Laura, cheffe de tribu engagée et passionnée
  • il y a 2 jours
  • 5 min de lecture

On les connaît, ces rendez-vous.


Le commercial arrive, le sourire vissé, la promesse calibrée, le prix “exceptionnel” à ne pas rater.

« Un site performant, visible sur Google, livré clé en main… et tout ça pour seulement 49 € par mois ! »


Le discours est rodé, l’offre paraît limpide.

Et, porté par l’envie d’avancer, on signe.


Quelques mois plus tard, on découvre que le site ne nous appartient pas, que tout est verrouillé, ou qu’il faut payer pour récupérer ses propres contenus.


Alors on pose la seule question qui compte :

le contrat, vous l’aviez lu ?


Commercial souriant tendant un contrat dans un paysage ensoleillé, illustrant les offres trop belles et les promesses séduisantes des prestataires.

Ce que je sais de la vente (et pourquoi je ne vends plus comme ça)


Je peux en parler librement, parce que j’ai fait ce métier.

J’ai passé plus de dix ans dans le commercial.

J’étais performante.

Très.

Mais vendre à tout prix, non.


Je me retrouvais souvent face à ce dilemme :

Je pouvais vendre, je pouvais convaincre…

Mais je savais que ce que je proposais ne correspondait pas à ce dont le client avait réellement besoin.

Et ça, pour moi, c’est non.


Vendre pour vendre, c’est trahir sa parole.


C’est aussi pour ça que j’ai créé Evo Consulting :


  • Pour ne plus jamais “placer” un produit dont je ne crois pas à la promesse.

  • Pour vendre juste.

  • Pour que chaque client sache exactement ce qu’il signe.


Pourquoi on ne lit pas (et pourquoi il faudrait)


Soyons honnêtes : personne ne rêve de lire vingt pages de conditions générales.

C’est aride, peu clair, et souvent fait pour qu’on signe sans creuser.


Sauf qu’un contrat, ce n’est pas un détail :

c’est la colonne vertébrale de la relation entre vous et votre prestataire.


Beaucoup de commerciaux enjolivent la réalité :


  • visibilité garantie,

  • résultats chiffrés,

  • première page Google en trois mois,

  • promesses irréalistes.


Mais le digital n’est pas une science exacte.

Personne ne peut garantir un résultat figé dans un environnement où algorithmes, IA et usages changent tous les jours.


Ce qui doit compter, ce n’est pas la promesse,

c’est l’engagement clair et réalisable.


Les “petites lignes” qu’on devrait tous lire


Dans ces pages de contrats, tout se joue :


  • Qui est propriétaire du site ?

  • Qui gère le nom de domaine et l’hébergement ?

  • Quelle est la durée d’engagement ?

  • Que se passe-t-il si vous partez ?


Ces clauses peuvent décider si vous restez libre… ou coincé pendant quatre ans dans un système verrouillé.


Pourquoi Evo (et Le Bureau des Sites) font aussi des contrats


Parce qu’on n’a pas le choix : les conditions générales protègent tout le monde.

Mais entre un contrat qui informe

et un contrat qui piège,

il y a un monde.


Chez Evo Consulting :


  • Conditions lisibles,

  • Clauses justes,

  • Transparence,

  • Aucun piège, aucune clause cachée, aucun frais surprise.


On explique clairement :


  • Qui possède quoi,

  • Comment la collaboration fonctionne,

  • Comment elle peut s’arrêter sans drame.


Les mises à jour : là où tout se joue


C’est souvent là que se glisse la confusion.


Certains prestataires promettent “un site évolutif”

mais chaque modification devient un devis :


  • changer un texte → facturé

  • ajouter une page → facturé

  • remplacer une photo → facturé


Ou alors on donne un accès “administrateur” en disant : « Vous pouvez le faire vous-même. »

Sauf que tout le monde n’est pas graphiste, rédacteur ou intégrateur.


Résultat :l

es sites stagnent, les mises à jour s’accumulent… et les clients se lassent.


Chez Evo Consulting, c’est simple :

➡️ les mises à jour sont illimitées.


Parce qu’un site est vivant.

Et qu’on ne va pas facturer la vie.


Je dis à mes clients :« Je fais tout, sauf la transmission de pensée. »


Toutes les mises à jour normales du site sont comprises.

Pas de tickets, pas de devis à rallonge, pas d’attente interminable.

Et quand ce n’est pas fait tout de suite, je le dis.


Parce qu’on construit une relation de confiance.

Et qu’un site figé, c’est un site qui meurt.


Le parallèle entre Evo et Le Bureau des Sites



  • Le client est propriétaire du site, des contenus, de l’hébergement, des accès.

  • On livre, on forme, on transmet les clés.

  • Et les mises à jour sont comprises.


C’est la base de la souveraineté digitale.



  • Modèle par abonnement, clair et assumé.

  • Le client reste propriétaire des données, textes, visuels, nom de domaine.

  • Nous possédons et maintenons le CMS.


C’est comme acheter une voiture vs louer un véhicule avec assistance et maintenance incluses.


L’un = propriété

L’autre = tranquillité d’esprit


Les deux sont bons.

Le bon choix dépend de vos besoins, pas du discours marketing.


Lire, c’est comprendre sur quoi on s’engage


Signer sans lire, c’est céder sa liberté digitale sans le savoir.


Lire, ce n’est pas suspecter :

c’est s’informer.


Et comprendre les mots, c’est comprendre les conséquences.


Quand un prestataire vous dit :

« Le site reste hébergé chez nous »

Demandez :

« Est-ce que je peux partir ? Et comment ? »


Si les réponses deviennent floues : méfiance.

Un bon prestataire doit rendre la sortie simple.


Consultante souriante présentant un contrat sur un bureau, symbolisant la transparence, la clarté et la relation de confiance dans la prestation web.

Mon point de vue personnel


Je ne crois pas qu’un bon contrat soit celui qui protège contre le client.

Je crois qu’un bon contrat protège la relation.


Il fixe un cadre clair, équitable,

et évite les malentendus.


Oui, chez nous aussi il y a des conditions générales mais pour garantir une collaboration juste,

pas pour verrouiller.


Parce que la transparence n’est pas un argument marketing :

c’est un engagement moral.


Et à la fin, chacun son métier :

le vôtre, c’est le vôtre.

Le mien, c’est de m’occuper du vôtre, pas de vous laisser le faire à ma place.


En résumé


  • Un contrat digital doit être lu, compris et questionné.

  • Les promesses trop belles cachent souvent des dépendances lourdes.

  • Les prestataires honnêtes expliquent leurs conditions.

  • La liberté numérique commence… à la première ligne d’un contrat.



FAQ


Pourquoi les prestataires mettent des durées longues (36 à 48 mois) ?


Pour lisser les coûts (hébergement, maintenance, référencement).

Mais ça ne justifie pas les clauses de verrouillage.

La durée n’est pas un problème si la sortie est simple.


Un abonnement, c’est forcément une arnaque ?


Non.

Chez Le Bureau des Sites, l’abonnement est clair : un service complet, sans promesse de propriété floue, sans frais cachés.


Comment savoir si mon site m’appartient ?


Regardez qui détient :


  • le nom de domaine,

  • les accès d’administration.


Si votre prestataire refuse → signal rouge.


Puis-je faire auditer mon contrat ?


Oui.

Evo Consulting propose une Reprise de contrat pour analyser vos clauses et reprendre la main.


Pourquoi lire son contrat ?


Parce qu’un contrat, c’est comme une partition :

si on ne la lit pas, on ne comprend pas la musique.



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