Le contenu n’est pas la cerise. C’est le gâteau.
- Laura, cheffe de tribu engagée et passionnée
- il y a 5 jours
- 3 min de lecture
On entend souvent :
“On fera les textes à la fin.”
“J’ai juste besoin d’un site, je verrai pour le contenu après.”
“On part sur la structure et on remplira ensuite.”
Cette idée que le contenu serait “ce qu’on met par-dessus”, comme une cerise sur un gâteau, est probablement ce qui fait échouer la majorité des sites.
Parce qu’en réalité :le contenu, c’est la base. La structure. La pâte.
Un site sans contenu solide, c’est un beau design…
qui ne sert à rien.
Le contenu est un levier, pas un remplissage
Le contenu, ce n’est pas du texte à produire pour Google.
Ce sont des phrases qui doivent convaincre, expliquer, engager, clarifier.
Quand c’est bien fait, il :
– clarifie une offre en 8 secondes
– rassure un prospect hésitant– filtre les curieux des vrais clients
– fait dire “ça, c’est pour moi”
Quand c’est mal fait, il fait fuir.
Et selon une étude du Nielsen Norman Group (2024), 81 % des internautes quittent un site s’ils ne comprennent pas immédiatement ce qui y est proposé.
Et c’est là que le bas blesse :
beaucoup de contenus sont écrits… pour les moteurs, pas pour les humains.
SEO ≠ phrases vides
La grande mode, depuis des années, c’est le “texte SEO”.
Des pages sur-optimisées, blindées de mots-clés, sans respiration, sans nuance.
Des contenus qui montent dans Google……et font redescendre l’intérêt du lecteur en 3 secondes.
Mais cette époque touche à sa fin.
Avec l’arrivée de l’AI Overview de Google (déploiement en France attendu fin 2025),le modèle change :
Google veut des réponses fiables, précises, crédibles, utiles.
Pas du remplissage optimisé.
Et cette évolution tombe bien.
Parce que chez Evo, c’est ce qu’on fait depuis le début.
L’IA n’est pas le problème. Mais elle amplifie les erreurs.
Depuis l’arrivée de ChatGPT, la tentation est grande :
générer du contenu “vite fait”, en quantité, à bas coût.
Et oui, techniquement, c’est possible.
Mais dans 90 % des cas, le résultat est :
– générique
– daté
– impersonnel
– parfois erroné
– souvent identique à d’autres contenus déjà publiés
Ce n’est pas la faute de l’IA.
C’est la faute de l’intention qu’on y met.
Et de l’absence de méthode derrière.
Créer du bon contenu avec une IA, ça s’apprend.
Et ce sera justement l’objet d’un prochain article :
“Comment briefer une IA pour écrire sans trahir sa voix”
Mais même avec les meilleurs outils…
il faut toujours une vision, une stratégie, un point de vue.
Et ça, ça ne se génère pas. Ça se construit.
Chez nous, le contenu, c’est là où tout commence
Depuis le premier jour, chez Evo,
on n’a jamais écrit “pour remplir une page”.
On a toujours écrit pour dire juste.
Et cette justesse, elle ne tombe pas du ciel.
Elle vient de là :
– du temps qu’on passe à écouter
– des questions qu’on pose pour aller au fond
– de cette attention sincère qu’on porte à chaque client
Sincère, c’est le mot.
C’est en s’intéressant vraiment qu’on capte les nuances, qu’on comprend les enjeux métier, qu’on découvre les bons mots, ceux qui collent à la réalité de terrain.
Et à force de faire ça, depuis des années,on a appris des choses incroyables sur des métiers très différents.
On a creusé des sujets pointus.
On est devenu, quelque part, un couteau suisse de la formulation claire.
Et surtout, de l’écoute active.
Un bon contenu, ce n’est pas juste un texte.
C’est une preuve qu’on a compris.
Et quand c’est bien fait, le lecteur le sent.
Le prospect aussi.
Et ça change tout.
FAQ
Est-ce que Google pénalise le contenu généré par IA ?
Non, tant qu’il est utile, lisible, fiable et pertinent.
Google ne juge pas l’outil, mais le résultat.
Faut-il encore optimiser son contenu ?
Oui, mais pas au détriment de la clarté.
L’optimisation passe aujourd’hui par la qualité éditoriale, la structure, le maillage, le ton.
Pas par la répétition de mots-clés.
Comment savoir si mon contenu est bon ?
Posez-vous cette question :
“Si je découvrais ce site pour la première fois, est-ce que je comprendrais ce qu’on me propose ?”
Si la réponse est floue, le contenu est à retravailler.
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